A jamais dans mon coeur...
Sans autres mots que ceux qui vont suivre… juste pour eux, dont la vie m’a brutalement privée de leur présence, récemment et sans répit de temps… Papa, Kévin, je vous aime et vous êtes à jamais dans mon cœur…
Le 14 septembre…
Dans l’épreuve de la douleur, les mots peuvent paraître bien dérisoires, pourtant ils sont bien l’expression de nos sentiments, de notre ressenti… Aujourd’hui, c’est avec ces mots que nous venons tous et toutes te rendre un dernier hommage à toi…mon frangin, mon mari, notre petit Papa, notre Papy, notre tonton ou tout simplement…Edouard, Doudou, Stève…
Te dire combien nous t’avons aimé chacun et chacune à notre façon, mais néanmoins tout aussi fort…te promettre que nous ne t’oublierons jamais même si désormais nous devrons conjuguer ton nom au passé…
Nous nous rappellerons de tous les bons moments que nous avons passé avec toi…de ton rire, de ton sourire, de ta générosité…mais aussi ta râlerie légendaire…et de tout ce qui a fait de toi cette personne unique que nous avons tant chérie…
Le 13 octobre…
Kévin, mon bonhomme, tant de mots me viennent à l’esprit quand je pense à toi… Tu es et resteras un grand rayon de soleil qui a illuminé nos vies à tous. La force qui manquait à tes muscles, tu l’avais dans la tête et tu la décuplais pour vivre ton quotidien si pesant et la distribuer autour de toi… Personnellement, tu m’as donné une putain de leçon de vie ! et j’ai passé des heures merveilleuses à tes côtés sans forcément m’en rendre compte sur l’instant... Tu savais aussi bien me dire que je vivais dans un mouchoir de poche, que j’écoute de la musique pourrie, que m’apprendre, par ta force tranquille, à relativiser mes petits bobos de la vie, ou me donner ta vision bien précise des relations entre les hommes et les femmes.
Il y avait aussi depuis 4 ans, ce moment privilégié que nous partagions à la Pentecôte…cette journée que je ne verrais plus jamais arriver de la même façon et où plus que jamais, tu vas me manquer…
Kévin, mon bonhomme, je vais puiser mon apaisement dans la délivrance de tes souffrances…on sera tous forts comme toi, pour toi… Ton départ, si proche de celui de mon papa, est une douleur qui ne se dit pas…Je me console de vous savoir ensemble pour faire ce voyage et retrouver, au paradis des plus belles âmes, tous les êtres que nous avons chéris et qui y sont déjà…