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Fabulous Mum's Life in Bordeaux

22 août 2014

L'heure du bilan !

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Et bien voilà nous y sommes, jour 24, le dernier de mon défi d’été, l’heure est donc au bilan ce soir ! Un bilan que je souhaite débuter par des remerciements sincères à mes fidèles lectrices (s’il y a des lecteurs, je les remercie aussi bien évidemment et je serais ravie qu’ils se fassent connaitre ;) qui y sont allées d’un petit « Like » sur Facebook, un RT sur Twitter et/ou d’un commentaire sur le blog. Petits mots que j’ai toujours grand plaisir à lire et qui me conforte et m’encourage dans mon écriture. Si je vous disais que ce défi a été pour moi « finger in the noise », je vous mentirais éhontément et ce n’est pas mon style. Donc voilà ce soir je vous avoue que je me suis maintes fois posée la question « mais sur quoi vais-je écrire aujourd’hui ? », j’ai buté sur les mots, cherché l’inspiration, tenté une ébauche pour finir par l’effacer et passer à toute autre chose, fureté sur le Web pour dénicher la bonne illustration, le bon synonyme pour éviter les répétitions, bref ça n’a pas été facile tous les soirs et l’heure de plus en plus tardive de mes posts le prouve bien. Mais d’un autre côté, quel bonheur quand pour certains billets, les idées et les mots venaient se ranger dans ma tête sans difficultés, quand les phrases se construisaient au fur et à mesure que je les tapais, quel plaisir de sentir la fluidité de l’écriture me gagner et titiller mes doigts sur le clavier. En résumé, ce fut 24 jours à faire marcher mes méninges, à parcourir Bordeaux pour trouver le lieu dont vous parler, à lire des pages et des pages pour mon plus grand bonheur et celui de vous livrer mon avis, 24 jours pendant lesquels j’ai renoué avec mon désir de toujours, écrire sur mes envies, mes humeurs, mes découvertes. Et de ce défi je retire une appétence à revenir plus souvent, histoire d’une part de mériter mon titre de blogueuse dans la blogosphère et de l’autre, le plus important à mes yeux, vous faire partager plus régulièrement ce pourquoi j’ai créé Fabulous Life in Bordeaux il y a plus de 8 ans maintenant…alors merci encore et à très vite :-)

 

 

Source photo : Media Books

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21 août 2014

Allez, on recharge !

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Vous avez peut être entendu parler de cette nouvelle épicerie qui s’est ouverte il y a quelques semaines à Bordeaux, d’un tout nouveau genre, une première en France, la Recharge est une épicerie sans emballages ! Le principe est donc que chacun amène ses contenants et fait ses courses en les remplissant. Une bonne façon de n’acheter que ce dont on a besoin et de réduire les déchets. J’ai donc joué ma curieuse aujourd’hui et suis allée voir de plus près cette fameuse Recharge. Ma première impression a été de me dire que je n’aurais pas vu cet endroit si petit mais très vite, j’ai apprécié l’espace bien agencé et la variété des produits proposés, parfois bio, parfois non mais toujours locaux. Des pâtes, des céréales, des légumes secs comme on en trouve maintenant assez couramment dans les surfaces bio ou quelques supermarchés mais pas que…et oui l’originalité est d’y trouver également, des huiles, du fromages frais, du vin en vrac, du café (que l’on peut moudre à l’aide d’un percolateur à disposition) des produits ménagers comme du liquide vaisselle végétal, du nettoyant multi-surfaces, du vinaigre blanc et puis…du chocolat !! Alors forcément j’ai été attirée en grande gourmande que je suis et j’ai craqué pour des orangettes absolument délicieuses. Puis je suis revenue vers les huiles, j’ai vu que des contenants étaient en vente, une petite bouteille de 25cl pour 1E, il ne m’en n’a pas fallu plus pour en remplir une avec une huile de noisettes du Périgord que l’un des gérants m’a tout d’abord proposé de goûter à la cuillère pour être sûre que je ne regrette pas mon choix. Aussitôt testée, aussitôt adoptée, un goût délicieux que j’imaginais déjà parfumant mes salades d’été. Au total pour 250g d’orangettes et 25cl d’huile de noisettes + la bouteille, j’en ai eu pour moins de 8E, je suis repartie satisfaite et n’oublierai pas de prendre avec moi ma petite bouteille la prochaine fois. Si je ne compte pas y faire mes courses courantes, je pense en effet revenir de temps en temps et bientôt pouvoir goûter à l’arrivage de thé qui ne devrait plus tarder…

20 août 2014

Le vent t'emportera de Jean-Marc Souvira

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Août 2003. Le cauchemar recommence. Trois femmes retrouvées à leur domicile parisien, entravées, le visage lacéré à coups de miroirs brisés. Sur leurs corps nus, un morceau de papier reprenant une phrase de l’Ecclésiaste. Trois meurtres en tout point identiques à une autre série remontant à quelques mois, mais dont l’auteur a déjà été arrêté… Erreur judiciaire, mimétisme, complot ? Dans la touffeur de la canicule, les pistes s’ouvrent et se referment. Un élément, quelque part, a forcément échappé aux policiers. Une évidence juste là, sous leurs yeux, de l’autre côté du miroir…

C’est la deuxième fois cet été que je lis un thriller d’un auteur français et une nouvelle fois c’est une très bonne surprise ! Une intrigue menée d’une main de maître où l’on pense souvent avoir le bon indice, celui qui a échappé aux enquêteurs, mais c’est sans compter sur l’auteur qui se plaît à distiller des petits détails qui viennent brouiller les pistes au fur et à mesure que l’on avance dans le récit. Si j’ai quand même résolu une partie de l’énigme un peu avant qu’elle ne soit dévoilée en amatrice de polar que je suis, j’avoue que l’explication de certains faits n’était pas à ma portée d’esprit, l’histoire est très bien ficelée et le dénouement reste bien surprenant…

19 août 2014

Sur mon VCub !

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A peine enfourché, il me procure un sentiment de liberté. Posée sur ma selle, c’est en pédalant que je prends la dimension de ce souffle dans mon dos qui me pousse dans un vent d’allégresse et de légèreté. J’aime cette liberté de pouvoir le décrocher et le remettre à un endroit différent, d’avoir à ma portée l’outil pour me déplacer sans qu’il ne m’appartienne, sans que je n’ai besoin de penser à le sécuriser quelque part quand je suis à l’arrêt. Partir avec et revenir en tram si le temps l’exige par exemple, ne pas être bloquée par la contrainte de l’avoir toujours avec moi, de devoir le parquer, le surveiller. Il me facilite la traversée de la rive, le retour un peu tardif de soirée, m’évite l’attente parfois bien longue d’un tram qui se fait désirer, porte mes pas quand je n’ai pas la bonne paire de chaussures aux pieds… Alors bien sûr, quelques désagréments existent, une station en maintenance ou tellement pleine qu’il m’est impossible de reposer mon précieux deux roues, une borne qui indique que le vélo choisi n’est pas disponible, mais comparés à tous ses avantages, ce n’est pas grand-chose et je sais m’en accommoder. Le VCub c’est mon moyen à moi de me déplacer sans encombres dans ma ville, de la traverser via ses nombreuses pistes cyclables, du quai des Queyries, au Quai des Marques, du Pont de pierre au Pont Chaban, de la Bastide à Bacalan… pourvu que ce soit droit devant !

18 août 2014

En mode évasion !

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L’envie se faisait pressante, un besoin d’évasion, de changer de décor le temps d’un WE, partir pour avoir le plaisir de revenir. L’Aquitaine regorge de coins les plus séduisants les uns que les autres et c’est sur la Dordogne et plus précisément dans le Périgord noir qu’une de mes amies et moi avons jeté notre dévolu. Au commencement du dépaysement, un minuscule village dont le charme opère dès l’entrée, un petit coin de paradis, de calme et de verdure, Saint Léon sur Vézère. Bordés de saules pleureurs, la Vézère s’écoule tranquillement, les canards y nagent en famille et y cancanent en toute tranquillité, les canoéistes passent doucement en admirant la vue de ce bord de rivière si enchanteresse que le temps semble s’y être arrêté… Le temps d’un pique-nique, de douces et mélodieuses voix sont venues résonner dans ce joli décor, une troupe de joyeux troubadours comme ils se désignent eux-mêmes, qui entonnent un répertoire de chansons vieilles comme le monde, des mélodies qui loin de la troubler, se mêlent à notre tranquillité et enrichissent notre impression de vivre un moment surréaliste et unique. Quand vient le temps de prendre congés de nos joyeux fantassins, c’est vers un sublime manoir que nous nous dirigeons pour la nuit mais avant cela direction une jolie ferme, le Puits Fleuri, dont les propriétaires produisent, transforment et cuisinent leurs propres animaux pour un dîner gourmand de pures spécialité du sud ouest. Un réveil en douceur, un moment prolongé à la piscine du Manoir des Cèdres et nous voilà reparties pour explorer les trésors et les vues imprenables depuis la Côte de Jor. Un détour plus touristique dans le joli Sarlat le temps d’un déjeuner tardif et nous partons ensuite pour notre dernière étape, les Jardins de Marqueyssac. Un site classé qui, dans un dédale de buis, offre des parcours différents pour accéder au belvédère qui domine toute la vallée de la Dordogne. Les buis centenaires sont tous taillés à la main et prennent différentes formes tout au long de la balade en jouant le rôle du fil conducteur. Au cours de notre promenade, on ouvre des yeux d’enfant sur des cabanes en bois nichées dans les arbres d’où l’on admire des vues splendides, on joue la carte de la pause zen devant des petites cascades creusées dans la pierre, on emprunte (ou pas, selon notre façon d’être chaussées !!) des allées sinueuses, des petits escaliers et enfin on déploie tous nos sens subtils dans un coin de forêt magique, royaume des fées et des elfes si bien cachés qu’ils ont été matérialisés sur des peintures encadrées sur des grands panneaux de bois. Quand le parcours touche à sa fin, il reste une petite étape à franchir…trouver le chemin qui mène à la sortie dans le labyrinthe de buis telle une Alice au pays des Merveilles…de Marqueyssac. Sur la route du retour, on se livre nos impressions de bien-être, de légèreté, d’énergie retrouvée qui confirme que vivre l’instant présent dans toute son intensité pendant moins de deux jours, procure le même bénéfice qu’un séjour de plus longue durée…

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14 août 2014

Le Roman du Mariage de Jeffrey Eugenides

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Une fille et deux garçons. Sur le campus de Brown comme ailleurs, il y en a un de trop. Madeleine aime le brillant Léonard et rêve déjà de leur futur radieux d’intellectuels talentueux. Mais Léonard est fragile, imprévisible, Madeleine est constamment sur le qui-vive. Avec Mitchell, le prétendant idéal, la vie serait plus simple ; pourtant Madeleine est réticente. Faut-il se marier par amour ?

Ça commence par une histoire banale, la vie quelque peu dissolue de trois étudiants sur un campus américain, des sentiments qui se dessinent, des hésitations, puis un choix à faire, la passion ou la raison. Mais lentement, insidieusement, un 4ème personnage s’immisce dans la vie de ces trois comparses, la maladie… Celle qui saccage sans montrer son visage, celle que l’on peut cacher un temps jusqu’à ce qu’elle dévoile ses pires côtés, la bipolarité. L’évolution de la phase maniaque est décrite d’une manière si précise qu’on pourrait presque glisser dans la peau de cet homme qui se voit se détruire et anéantir la vie de celle qui l’aime. On pourrait ressentir toutes les émotions de ces périodes où il ne dort pas et où son cerveau fonctionne intensivement sans jamais ralentir. La phase dépressive moins détaillée expose quand même les ravages de cette lourde pathologie, la léthargie et la noirceur dont il semble presque impossible de se délester. Le lecteur est aussi bien pris dans les filets de la maladie que dans le mélange de sentiments d’amour, de sacrifice, de renoncement, qu’ont en commun les trois protagonistes . Une belle lecture, par l’auteur de Virgin Suicides, qui livre un regard précis sur une maladie dont on entend de plus en plus parler sans jamais vraiment en comprendre ni les origines, ni les conséquences. L’amour est le lien, la trame qui fait naître toute l’histoire et qui lui donne une forme. Et les deux sont liés….irrémédiablement…

 

13 août 2014

Au vert !

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 Quand je suis arrivée il y a presque 3 ans de l’autre côté de la rive bordelaise, je quittais non seulement un appartement mais aussi un environnement très agréable puisque je logeais alors dans une résidence avec piscine. Mais choisir étant renoncer, c’est bien vers une vie plus citadine que j’ai voulu m’orienter tout en sachant que, pour compenser mon éloignement de l’eau chlorée, je me dirigeais vers un peu plus d’espaces vert puisque non loin de mon nouveau chez moi se trouve une zone verte propice à la balade comme à la flânerie, j’ai nommé le Jardin Botanique ! Ce jardin qui s'étend tout en longueur des allées Serr jusqu'au quai des Queyries est le petit coin de nature par excellence du quartier Bastide. Idéal pour faire une pause et respirer un peu de nature, il y joue d’abord son rôle premier en abritant diverses espèces de plantes, d'arbres mais aussi de fruits et de légumes en devenir accompagnés de pancartes descriptives.  Personnellement je préfère envoyer valdinguer mes chaussures et traverser la vaste étendue de pelouse pieds nus pour me relier à la terre et ses richesses. Passer près des érables mordorés et admirer ces incroyables couleurs, puis les nénufars du petit étang, ces plantes m’ont toujours intriguée et fascinée du fait à la fois de leur déploiement en corolle si gracieux et de leur capacité à vivre en étant simplement « posées » sur l’eau, un mystère que je ne me lasse pas d’aller voir de plus près à chacune de mes visites. J’aime aussi y installer ma jolie nappe à carreaux pour un petit pique-nique au pied d’un arbre suivi d’une petite sieste à l’ombre. Enfin, lors d’une de mes dernières incursions, je suis entrée dans la salle d'exposition pour y voir la dernière en date : « De l'autre côté de l'eau », intéressante certes mais la botanique n'étant pas ma passion première, j'y ai surtout découvert l’intérieur des serres devant lesquelles je passe si souvent et là ce fut une belle révélation, un vrai décor exotique, un cadre tropical pour un dépaysement garanti et une petite dose d’évasion à deux pas de chez moi, que du bonheur :-) 

12 août 2014

ça c'est fait !

ça c'est fait

La procrastination, vous connaissez ? Et bien moi je suis une adepte du genre ! Car autant dans mon boulot je suis très scrupuleuse dans ma liste de taches quotidiennes à accomplir, autant dans le domaine perso, je repousse sans cesse le moment de s’occuper de ces petits éléments qui, accumulés finissent par nous gâcher le temps libre dont nous disposons. Alors quand dans une seule journée, j’arrive à régler un tas de petits détails en attente, j’en retire une certaine satisfaction. Les vacances c’est la période idéale pour ce genre d’activités même si la motivation n’est pas toujours au rendez-vous. Armée de ma "to do list" soigneusement établie en début de période d’été, je coche chaque ligne avec une satisfaction non feinte à chaque fois que j’ai pris le temps d’effectuer une action prévue et notée. Trier, ranger, jeter, prendre rendez-vous, réorganiser, changer la disposition des meubles, accrocher un tableau, porter au recyclage etc etc.. Mais la "to do list  n’est pas que besognes et obligations, non elle se compose aussi des coups de fil amicaux que je me promet souvent de passer, d’invitations à dîner en attente de temps disponible, de recettes à essayer, de nouveaux lieux à visiter, d’expositions à ne pas manquer, de films à voir au cinéma ou en VOD, la liste est longue mais elle n’est pas faite que de contraintes et c’est aussi ce qui fait tout le plaisir de la constituer et de pouvoir en retirer le contentement de l’action achevée plus communément connu sous l’expression jubilatoire :  « ça c’est fait ! » 

11 août 2014

Tout en perspective...

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Dans la veine d’ »Alice au pays de l’Opéra », présentée en 2013, le Grand Théâtre accueille cet été la suite de cette exposition qui s’intitule cette fois « Au-delà du miroir »,les deux créées par Giulio Achilli et dont le but est de transposer l’univers de Lewis Carroll dans le monde de l’opéra. Dans ce décor grandiose, de salons en vestibules, on découvre un parcours fait de miroirs, de trompe-l’œil, des effets de perspectives, des jeux de lumières qui modifient la vision des lieux. Toutes ces illusions de l’œil sont dédiés à la révélation de l’envers du décor des spectacles qui sont donnés sur la scène de l’Opéra de Bordeaux. Chaque découverte aiguise l’œil, chaque installation fait son petit effet, un tourbillon dans lequel on semble s’enfoncer, un homme qui passe à travers le plancher, la chambre d’âmes qui nous rend aussi petits qu’un pion sur un échiquier, un jeu de miroirs dans une ambiance bleutée, il y a de quoi explorer et aiguiser son regard ! En marge de tout cela, le plaisir d’avoir accès aux plus beaux costumes portés lors des représentations sur scène et au bout du chemin l’accès à la grande salle de pour un joli final tout en son et lumières. A voir jusqu’au 31 août !

8 août 2014

Jamais sans mon chat !

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Aujourd’hui, 8 août, c’est la journée internationale du chat alors j’ai décidé de dédier mon billet du jour au mien. Cette boule de poils noirs est entrée dans ma vie il y a 11 ans et, réfutant toutes les idioties et aberrations qui peuvent circuler sur les chats de cette couleur, ne m’a toujours apporté que du bonheur. Jamais avare de câlins ou de ronronnements, il est encore très vif, terriblement joueur, et bien sûr très dormeur. Sa présence m’apaise et me donne de la force. Féroce gardien de mes chaussures comme de mes sacs à main, ses regards m’attendrissent et ses postures parfois tellement rocambolesques ne cessent jamais de m’étonner et de me faire sourire. Je l'affuble d'un nombre de surnoms infinis auxquels soit il finit par répondre, soit il affiche un air totalement blasé, il est mon compagnon de vie, il partage mes joies comme mes tristesses qu’il tente toujours d’adoucir avec de tendres frottements de tête et des petites léchouilles bien râpeuses. Je pourrais vous en parler des heures mais je crois que c’est inutile, tous ceux d’entre vous qui vivent avec un chat m’ont déjà comprise et les autres ne pourront jamais assimiler mes mots sans vivre cette merveilleuse expérience féline. Alors je vais plutôt retourner lui prodiguer quelques caresses et m’endormir au doux son de ses ronronnements bienveillants :-)

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